Dossier d’opportunité du lien fluvial Bas-Saint-Laurent–Charlevoix – La STQ a rencontré les représentants des régions desservies
18 February 2022
Dans le cadre du dossier d’opportunité pour le lien fluvial Bas-Saint-Laurent–Charlevoix débuté en 2021, la Société des traversiers du Québec (STQ), accompagnée par la Société québécoise des infrastructures (SQI), a rencontré dans les derniers jours les représentants des deux régions desservies afin de présenter le projet dans son ensemble et les différentes étapes à réaliser.
Outre la présentation des objectifs de la démarche, les rencontres avaient pour but de prendre le pouls des différents intervenants politiques et socio-économiques et de les inviter à soumettre leurs besoins et leurs attentes dans le cadre de ce projet majeur. Ils auront jusqu’à la mi-mars pour soumettre leurs documentations officielles en lien avec le projet. L’implication des acteurs locaux au tout début du projet assure ainsi que toutes les informations pertinentes auront été recueillies en amont du projet pour permettre de documenter le dossier d’opportunité de façon exhaustive.
Rappelons également que parallèlement à ces rencontres, de nombreuses entreprises et organisations de la région seront rencontrées dans le cadre de l’étude socio-économique qui servira également d’intrant au dossier d’opportunité.
Un dossier d’opportunité fait partie intégrante de la Directive sur la gestion des projets majeurs d’infrastructure publique et la Société québécoise des infrastructures (SQI) est chargée de son application. Son objectif est de permettre d’élaborer différentes options prometteuses et de prendre des décisions justes et éclairées afin de déterminer le meilleur choix. Par cette démarche neutre et impartiale, la STQ va ainsi s’assurer que la pérennité du service de traversier sera assurée pour le lien fluvial Bas-Saint-Laurent–Charlevoix. Le délai moyen pour l’élaboration complète d’un dossier d’opportunité varie entre un et deux ans. Le dépôt de celui-ci est prévu en 2023.
La STQ tient à réitérer qu’aucune décision n’a été prise concernant l’emplacement futur de la traverse du côté du Bas-Saint-Laurent.